Ils ont dit non à l'interopérabilité!

Les sénateurs ont achevé tard dans la nuit l'examen de l'article 7 du projet de loi sur le droit d'auteur et les droits voisins dans la société de l'information (DADVSI). La Haute Assemblée a supprimé le mécanisme d'interopérabilité forcée favorable au logiciel libre, mais si défavorable à Microsoft et Apple.


Le refus de l'interopérabilité des Drm signifie , tout d'abord, qu'il vous faudra acheter une oeuvre culturelle par apareil numérique, un morceau de musique acheté chez virgin , par exemple, ne pourra pas être lu sur un Ipod et votre Pc, il faudrat acheter deux fois la même oeuvre pour l'écouter sur deux apareils de marque différente, de plus si le consommateur trouve un moyen de procéder à une quelquonque conversion pour écoutre son bien culturel légalement acheté, il sera passible d'une sanction pénale, la jurisprudence risque d'être passionnante! j'imagine déjà Vivendi-universal vs Kevin qui à voulut détourner une oeuvre culturelle de Lorie ou Diams pour l'écouter sur sa hifi et son Ipod, légalement Vivendi sera la victime mais moralement l'opinion risque d se détourner encore plus des mastodontes de la distribution culturelles quifont de chaque consommateur un délinquant potentiel.

Dans un an, le visage du monde informatique risque d'évoluer vers le pire du pire, des rootkits surveillants les fait et gestes des consommateurs pour mieux vendre les données récupérés à des centres d'appels ou de télémarketing qui viendront vous proposez chaque jour les produits que vous aimez sans que vous l'ayez demandé!!

le monde du libre , pénalisé risque d seréduire à une peau de chagrin, l'utilisation d'ubuntu, mandriva, feodara interdite ou censuré du fait que les distribs linux peuvent permettre à quiquonque de détourner les Drm et les envoyer les fichiiers détournés à son entourage, Microsoft aussi risque d'avoir des problèmes, mais vu les moyens financier qu'a le groupe de Bill, Microsoft à tout intérêt de vouloir distribuer les licences des DRM ou MTP (mesures techniques de protection) aux puisssants éditeurs et distributeurs de contenu multimédia...

Tout çà fait penser qu'à une époque l'avortement, l'homosexualité étaient consodérés comme des crimes et délits, donc, esperons que l'évolution de la société numérique se fasse dans le sens de la lumière plutôt que vers l'obscurantisme proposé par quelques groupes et lobbies industriels.

En conclusion, il y a déséquilibre total, le consommateur à tout perdu , sauf le droit d'acheter plusieurs fois le même produit pour un usage contrôlé et limité.

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