Un juge de New York a jugé la plainte des « Fab Four » recevable.
« Nous sommes très heureux », a réagi vendredi l'avocat new-yorkais, Paul LiCalsi, au nom de ses clients, Paul McCartney, Ringo Starr, des ayants droit de John Lennon et de George Harrison, et de Apple, la société des Beatles : « Nous aurons ainsi l'occasion de montrer que EMI-Capitol a agi frauduleusement dans sa gestion des ventes et ses rapports sur les disques des Beatles », a-t-il déclaré[1].
Par cette décision favorable, les derniers Beatles ouvrent une brêche qui permettra, on l'espère , à ce que des dizaines de milliers d'artistes etant ou ayant eu un contrat avec une major puissent demander le payement des droits non-payés , le remboursement du pour la spoliation et l'exploitation parfois outrageuse de leur travail par des maisons de disques sans scrupules, ni morale ou éthique qui actuellement prennent un malin plaisir à harceler ou vouloir mettre leurs clients en prison.