Selon lui, les médias ont déjà choisi les candidats présents au second tour : Nicolas Sakozy et Ségolène Royal. il l'a répété samedi soir sur TF1 : journaux et télés font le jeu du PS et de l'UMP en ignorant les petits partis.
Il ose, même prendre une hypothèse totalement absurde[1], que de grands groupes de médias soient liés à de grands groupes industriels qui aient avec l’État des rapports de client à fournisseur…(mais non, voyons , çà se saurait!) un peu comme en Russie..
Pour lui Nicolas Sarkozy assume publiquement cette proximité, et même cette intimité particulière avec les détenteurs de ces immenses puissances, de ces forces de frappe industrielles et médiatiques qui jouent un si grand rôle dans la formation de l’opinion. Mais la gauche connivente, dite « caviar » a fait de même pendant très longtemps(çà se voyait moins à l'époque)
- Des propostions de Bayrou
il faut séparer la politique de l’économique et l'économique qui tient le médiatique.
Je proposerai dans mon programme de campagne que cette garantie de séparation soit apportée par la loi.
Les critiques du président de l'UDF relancent le vieux débat de la collusion entre médias, hommes politiques et élites économiques. Bayrou est le seul avec leFn à dénoncer cet Etat de fait, qui est un véritable taboux .
c'est rare des politiques de ce calibre de nos jours, si Bayrou continu comme çà, il risque de rejoindre les marginaux extrèmiste blacklisté par les grands Médias diabolisé par une presse dont le seul execice journalistique est de faire de la publi-information ou du clientélisme depuis le développement du premier média totalement démocratique qu'est l'internet.
Notes
[1] samedi soir sur TF1