Le nombre d'emplois recueillis en 2005 a été «plus important même qu'en 2000», où la situation économique était plutôt favorable, souligne le directeur de l'Anpe, la la moitié de ces offres étaient des CDI ou CDD de plus de 6 mois.
Pour le directeur général de l'ANPE Christian Charpy,la part des CNE (contrat nouvelles embauches) s'élève à quelque 20.000(on est loi ndes 400 000 annoncé par les politiques). Un chiffre qui ne reflète pas la réalité.
Le nombre de ruptures de CNE identifiées par l'Agence est inférieur à 1.000, un nombre à considérer aussi avec précaution..
L'année 2006 sera celle «d'une nouvelle ANPE», a poursuivi Christian Charpy, évoquant notamment le rapprochement avec l'Unedic, dans le cadre de la convention tripartite signée, avec l'Etat, «dans les prochaines semaines».
En Bref, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, la crise actuelle n'a pas lieu d'être, le cpe, la précarité et la fléxibilité sont une chance car çà permet de créer de l'offre sur un marché de l'emploi plus que sombre et de faire croire que celui-ci explose. j'arrête là...
Source: le figaro
1 De breizhblog -
C'est possible : du fait de l'augmentation de la précarité, des temps partiels... Là où une entreprise créait un emploi stable, elle crée aujourd'hui plusieurs emplois dans l'année : plusieurs CDD, CNE ou des temps partiels... Ca fait donc mathématiquement plus d'offres...
L'ANPE ne doit pas être très exigeante avec elle-même pour voir la vie en rose ainsi... et oublier que le nombre de demandeurs d'emploi a augmenté de plusieurs centaines de milliers de personnes depuis 2000...
2 De shyboy -
l'ANPE à une mission réduire à tout prix le nombre des demandeurs d'emplois, les baisses consécutives sont principalement le fait des radiations, des stages et des artifices crées par l'agence pour diminuer le pourcentage..