L’olédoduc Transalaska, qui s’étend sur 1 270 kilomètres reliant la côte arctique à la côte occidentale de l’Alaska, qui draine chaque jour 1.7 million de barils de brut et les achemine jusqu’au port de Valdez, plus au sud de l'Etat.
La rupture de l'ouvrage est connue depuis le 2 Mars par un employé de British Petroleum. Elle s’est produite dans le champ pétrolier de Prudhoe Bay, à 1 000 kilomètres au nord d’Anchorage, et serait due à une érosion du métal.
La semaine dernière, la fuite était estimée à 200 000 litres de brut, mais le constat s’est largement alourdi depuis : ce sont, à l'heure actuel entre 760 000 et un million de litres de pétrole qui se sont écoulés dans la toundra enneigée.
Enfin, c'est devenu tellement banal les pollutions de ce genre, à tel point que les grands médias généraliste n'en font carrément plus allusions..
Source: futura science