La génération précaire n'a jamais été aussi active qu'aujourd'hui, les jeunes sont prêt à tout pour acquérir de l'expérience professionnelle, décrocher des stages sous-payés, ou bien souvent ils remplacent un ou plusieurs employés en CDI/CDD, mais ce n'est pas toujours évident de trouver le stage de ses rêves, les recruteurs recherchent le mouton à cinq patte, et cette patte magique du stagiaire ne peut bien souvent venir que de la sexitude de celui-ci.
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L'initiative de ce buzz viral est venue de deux étudiants de l’école Hetic qui jouent la provocation avec les mots, trouvés dans les pires clichés du sexisme banal . La jeune femme est sexy, avenante avec des atouts et un beau décolleté, le mec est« un vrai », le genre qui a gros un gros paquet entre les jambes. Le but des étudiants n’était pas d’être vulgaire, c'est à prendre au second degré... comme si les boss, les recruteurs connaissaient l'humour et le second degré... Un peu candide et potache, mais je crains que la demoiselle risque d'avoir toute sorte de propositions, mais très peu liés au stage, malgré ce que disent les médias, les places sont chères dans le développement et les agences Web, un 95 C , et un physique de jeune première du cinéma Français peuvent faire la différence dans un entretien.
Cette initiative bien potache me rappelle cette blague bien pourrie:
- C’est l’histoire d’un entrepreneur qui, pour recruter sa secrétaire décide de poser la même question à 2 candidates
- Que faites vous si vous trouvez un billet de 500 F par terre ?
La première – Je mets une affiche à la cafétéria et je fais le tour de mes collègues pour retrouver celle ou celui qui l’a perdu.
La deuxième – Je le mets dans mon tiroir. Si au bout d’un an personne ne le demande, je le garde.
A votre avis, laquelle sera embauchée ?
Réponse: – Celle qui a les gros seins.