'Smack My Bitch Up' de PRODIGY au sommet! faut dire, le groupe a mis tout son coeur pour composer un des titres les plus politiquement incorrecte de toute l'histoire du Pop-Rock.
UK Public Votes Prodigy Song As Most Controversial
- The Prodigy - 'Smack My Bitch Up'
- The Sex Pistols - 'God Save The Queen'
- Frankie Goes To Hollywood - 'Relax'
- Eminem - 'Kim'
- Rage Against The Machine - 'Killing In The Name'
- The Shamen - 'Ebeneezer Goode'
- Ozzy Osbourne - 'Suicide Solution'
- Marilyn Manson - 'Get You Gunn'
- Slayer - 'Angel Of Death'
- XTC - 'Dear God'
En un on retrouve PRODIGY le combo Punk Electro Britannique qui dans son album The Fat of the land avait produit un titre assez vilain avec 'Smack my bitch up' qui littéralement en Français peut se traduire en "je frappe ma Salope", pourtant ça n'a pas empêché PRODIGY de triompher partout dans le monde en 1996-1997.
En seconde position, les escrocs de The Sex Pistols, groupe construit de toute pièce par Malcom McClaren, qui fit beaucoup parler de lui en 1977 en outrageant la reine d'Angleterre et bafouant l'hymne de la perfide Albion.
Troisième, FGTH, un tube Gay-friendly sur le SM, ce titre est devenu culte grâce à son utilisation dans la BO du classique de Brian de Palma, l'excellent Body Double.
Cinquième RATM avec Killing in the Name, une chanson pro-marxiste, anti-establishement Killing in the Name semble dénoncer les liens entre les pouvoirs de l'époque et le Ku Klux Klan comme en témoigne les paroles "some of those that work forces, are the same that burn crosses" (Certains de ceux qui travaillent au service de l'autorité , sont les mêmes qui brûlent des croix) "Those who died are justified, by wearing a badge, they're the chosen whites" (Ceux qui meurent sont justifiés par ceux portant un badge, ils sont les Blancs élus)[1]
Ozzy Osbourne Suicide Solution, un morceau légendaire plus par le riff légendaire du regretté guitar hero Randy Rhoad que par les paroles, pourtant à l'époque plusieurs associations de la droite américaine réclamèrent l'interdiction des tournées d'Osbourne, le boycott de ses œuvres, déclarant entre autres que ce dernier a « une mauvaise influence sur les adolescents.
Enfin, Angel Of Death de SLAYER, une chanson qui est tout sauf l'apologie des camps de concentration, e les paroles écrites par le guitariste Jeff Hanneman sont basés sur les expériences du médecin nazi Josef Mengele qui a conduit des projets scientifique sur certains déportés dans le camp de concentration de Auschwitz durant la seconde guerre mondiale. Évidement, c'est choquant, mais ce n'est pas pire qu'un bouquin de Primo Levi.
Via: Prs For Music
Notes
[1] Source Wikipedia