L'archevêque de Paris vient de se voir décerner le premier prix du «macho de l'année» par les Chiennes de garde, le célèbre mouvement féministe, «réseau de vigilance défendant des femmes publiques contre des insultes sexistes», a été lancé le 8 mars 1999
Interrogé le 6 novembre à Radio Notre-Dame sur le rôle des femmes dans la célébration des offices, le cardinal-archevêque avait répondu :
«Le plus difficile, c'est d'avoir des femmes qui soient formées. Le tout n'est pas d'avoir une jupe, c'est d'avoir quelque chose dans la tête.»
C'est vrai, c'est rude de faire des généralités, mais un homme comme ça doit garder ses réserves sur un tel sujet, même si il n'est pas forcément complétement dans le faux.
Un macho, n'est pas forcémént un mauvais bougre.