Rachida Dati: le figaro efface le bijou en diamant de la garde des sceaux

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Nouvelle polémique autour de la délicieuse garde des sceaux, Rachida Dati, le Figaro efface de sa une un magnifique bijou de 15 600 euros, que la Ministre chargé de réformer la justice, portait en une de ce Journal ...



LE FIGARO a retouché sa photo de sa une de la Ministre de la Justice, en retirant la bague "Liens", de Chaumet, en or gris avec deux liens pavés diamants, d'une valeur de 15 600 euros !

LE FIGARO enfonce le clou:.

"On a bouclé dans l'urgence. On assume. On ne voulait pas que la bague soit l'objet de la polémique, alors que le vrai sujet était la pétition des magistrats. Rachida Dati n'a rien à voir avec ça."



Un peu facile,surtout que le photographe ne devait pas avoir pris qu'un seul cliché de la garde des Sceaux mais tout le monde sait que Rachida Dati, n'est plus vraiment dans les petits papiers de l'élu des Français et des Ténors de l'UMP. Se prendre ça dans la tronche alors que 534 magistrats viennent de signer une Pétition en défaveur de Rachida Dati suite à l'affaire de Metz.

Sur une pleine page, les magistrats exposent leurs doléances : ils stigmatisent les «injonctions paradoxales» d'une politique qui, expliquent-ils, développe les peines planchers - poussant ainsi les récidivistes en prison - tout en demandant des aménagements de peine.

Ou encore une garde des Sceaux qui «souhaite une plus grande fermeté pour les mineurs», mais jette l'opprobre, selon eux, sur les ma­gistrats après le suicide d'un jeune détenu.

Depuis plusieurs semaines, «l'affaire de Metz» nourrit l'amertume du corps. À la suite du décès du mineur, Rachida Dati diligente une inspection sur place. Le lendemain matin, elle se rend elle-même sur les lieux. Les conditions de cette inspection - les acteurs ont été interrogés jusque tard dans la nuit - ont donné aux magistrats le sentiment de servir de boucs émissaires. Une polémique est également née autour de l'attitude de Rachida Dati elle-même, qui aurait critiqué l'action du parquet - une version fortement démentie par la Chancellerie. L'événement fait déjà partie d'une liste de griefs que les syndicats de la magistrature ont demandé à l'instance suprême, le Conseil supérieur de la magistrature, d'ar­bitrer. Les sages ont d'ailleurs décidé d'enquêter sur ce sujet, mais l'inspecteur général ne s'est pas rendu à leur première invitation - et n'acceptera pas d'être auditionné par eux

Source:Le Figaro

C'est ça aussi la politique: on lèche on lâche, on lynche.

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