Un propriétaire Parisien possédant une résidence secondaire dans une rue commerçante de Pléneuf-Val-André(Côtes d'Armor) avait installé le boîtier répulsif antijeunes[1], il y a 15 jours sur la façade de sa maison, rue Clémenceau à Pléneuf-Val-André . Le boitier était tellement efficace qu'il donnait même des maux de têtes aux passants et aux riverains, 12 jeunes de la petite commune se sont plaints de très sévères maux de tête; même les commerçants de cette petite commune, craignant une baisse significative de leur chiffre d'affaire lié à l'action de ce boitier surla voix publique, n'ont pas tardé à réagir et à prévénir les autorités locales et les troubles à l'ordre public que constituait ce petit outil vendu aux propriétaire comme l'arme ultime contre la délinquance des jeunes, et la protection contre les atteintes à la propriété privé.
Le propriétaire a acheté sa maison secondaire en 2004. Il ne l'occupe pas actuellement. Quand il l'a visité, il savait bien que la rue Clemenceau est une rue passante et commerçante », ne comprend pas
Yves Gauthier, un riverain . Il ajoute : « Cet appareil constitue une nuisance insupportable pour les commerçants, leurs clients et les personnes qui empruntent la voie publique. Et, quelque part, c'est aussi l'image de la commune qui est atteinte. » Jean-Yves Lebas, le maire de Pléneuf-Val-André, doit signer ce matin un arrêté « interdisant ce type d'installation » sur la commune. « Sur le fond, je suis tout à fait défavorable à ce genre d'appareils. Des enfants auraient été touchés par ça, c'est inadmissible », proteste-t-il (ouest-france le 10 avril 2008).
Le propriétaire du boîtier antijeune doit comparaître ce jeudi devant le tribunal de Saint-Brieuc , la justice l'ultime boite anti-con?[2]