Un blog de Bretagne

L'économie capitaliste est désormais antisociale. Devant l'épuisement d'un modèle économique issu des trentes glorieuses. Comment relancer une croissance face à la aux délocalisations et à la destruction de la masse salariale. La cohésion sociale est-elle encore possible en france?dans un contexte d'appauvrissemnt généralisé de la société du fait du "tsunami" lié à lamondialisation et l'émergence de la concurrence économique des pays sous-développés et à faible coût de main d'oeuvre.

je me remets à lire des pseudos essais d'e macro-économie et d'économie politique, hier, c'était "L'espoir économique Vers la révolution du quaternaire"de michèle Debonneuil. Qui vient d'écrire un véritable manifeste pour une nouvelle aliènation de l'homme à l'entreprise et l'exploitation de l'homme par l'homme et son contraire pour dégager une marge de profit et ralncer la croissance éco de notre nation

Le postulat de départ est simple: la croissance positive sera bientôt quasi-impossible, le dernier espoir pour les citoyens de se sortir de la misère serait l'émergence et l'encadrement du secteur Quaternaire. Dans cet Essai une Economiste de droite propose de nous faire avaler ses solutions lié au dévelloppemet de ce secteur; Elle voit "l'espoir" dans la marchandisation généralisés des services, en effet, si toute l'industrie et les secteurs primaire sont délocalisable, le secteur des services non!

Après le secteur primaire (agriculture, pêche, extraction, ou exploitation forestière), le secondaire (industrie), et le tertiaire (services marchands et non marchands), en apparait un nouveau: le "quaternaire".Sa création résulte en effet de la difficulté à les classer, leur activité se situant en réalité entre le secteur secondaire (industrie), et le tertiaire (services).

Donc, L'Economiste Michèle Debonneuil prétend que l'ère du quaternaire où le moindre service peut se monnaier à prix fort grâce à l'informatique les Ntic et le développement des services aux personnes aisés peut être un facteur de croissance des pays les plus riches et en particulier en particulier avec des nouveaux type de services. Cette économie du chacun pour soi est pour elle une véritable aubaine pour l'économie française, à l'horreur économique
liée à la mondialisation arrive l'espoir économique lié aux développement des services aux personnes les plus aisées. Ben oui, l'homme marchandise ne va pas vendre ses compétences à des individus suspecté d'insolvabilité. le postulat dégagé dans l'Oeuvre est pourquoi ne pas vendre ce qui pouvait être avant gratuit et maquiller cette escroquerie par une nouvelle sémantique, en effet, elle évoque une ère basé sur le service et la location, plus rien n'appartient au con-sommateur qui doit louer à des boites privés des biens de consommations matériels ou immatériels... L'économiste nous donne l'exemple de la bagnole, celle-ci ne vous appartient plus au lieu de l'acheter vous la louerez avec chauffeur en option, elle se gourre ( la bagnole c'est comme une extension de la personne)...

Les plus modestes n'auront plus la possibilité d'avoir un voiture, mais il auront le droit de la louer à des professionnels de la location de voiture, ça fait penser à Microsoft qui vend l'usage plutôt que le bien.

Mieux vauit être riche que modeste pour ne pas se retrouver dans une spirale qui fait que votre vie déprendra du bon vouloir de grandes enseignes et marques qui vous feront adopter des contrats d'adhésion ou de location à durée indéterminée pour l'usage et l'utilisation de certains bien de consommations courante. C'est bien l'âge de l'accès décrit par jeremy Rifkin.^[1]

Donc, au lieu d'aider son prochain à titre gratuit, comme on pouvait le faire avant, le principe est devenu de vendre son service et de créer un lien marchand... par exemple au lieu d'aider son voisin à installer Windows vista, on ira voir son voisin pour lui facturer l'installation de l'OS, idem pour faire règler son ipod. Tout cela va permettre l'émergence d'une nouvelle croissance lié à la tarification d'un paquet de choses que l'on pouvait faire soi-même à condition d'avoir un peu de temps et de courage. Du travail marchandise à la marchandisation-aliénation totale de l'individu.

Voir aussi Du tiers secteur à l'économie quaternaire